La 19e édition de Livres en folie réunira le 30 mai dans un seul espace, Parc historique de la canne à sucre, 129 auteurs en signature et 1 436 titres en vente avec 40% de rabais pour les acheteurs. Livres en folie, le rendez-vous incontournable. Plus qu'une simple tradition annuelle, cette foire s'installe dans la pensée des écrivains comme la date pour se mettre en valeur et pour les lecteurs l'occasion de faire l'acquisition d'ouvrages à des prix abordables. Parce que « l'écriture est l'un des meilleurs supports pour transcrire et prolonger la mémoire d'un peuple et celle de l'humanité », la ministre de la Culture, Josette Darguste, croit que c'est une obligation pour le gouvernement de continuer à supporter Livres en folie. « Haïti, en tant que pays prolifique, est l'un des plus productifs dans le domaine littéraire », a-t-elle dit, à l'occasion du lancement officiel de l'événement. Notre pays regorge d'écrivains et de créateurs perpétuant le rêve et enrichissant l'esprit , a-t-elle ajouté.
Opératrice culturelle elle-même, Josette Darguste confesse que Livres en folie est définitivement la plus grande manifestation littéraire en Haïti réunissant depuis 19 ans des milliers de personnes en quête de palpitations nouvelles à l'occasion de la Fête-Dieu. « Cette motivation regroupe un nombre croissant d'écrivains qui profitent de l'événement pour lancer un livre ou offrir des titres déjà publiés. L'administration Martelly-Lamothe, soucieuse de sauvegarder l'héritage intellectuel du peuple haïtien et d'encourager toute initiative de création, de production littéraire, prend plaisir encore une fois à contribuer à la réalisation de cette manifestation d'envergure », a-t-elle déclaré.
Pour Frantz Duval, rédacteur en chef du journal Le Nouvelliste, l'un des organisateurs de l'événement, Josette Darguste est le quatrième ministre de la Culture qui supporte Livres en folie. Une façon pour le journaliste de carrière de souligner qu'à ce niveau, la continuité de l'Etat à se mettre au service des auteurs et écrivains est bien assurée. « Nous voulons aussi remercier l'engagement du président Martelly, le premier chef de l'Etat à participer deux fois de suite à Livres en folie, on doit le souligner, parce que cela ne se faisait pas avant », a-t-il dit. M. Duval a aussi remercié la contribution financière des ministères de la Culture et de la Planification.
Guy Supplice, représentant de la Unibank, l'un des partenaires de Livres en folie, a estimé que l'accueil du ministère de la Culture à cette manifestation culturelle était la preuve que cette entité est consciente de l'engagement qu'elle devait prendre auprès des initiateurs de l'événement. Pour lui, cette 19e édition est la continuité de l'abondance de lecteurs, d'écrivains et de participants. La Unibank renouvelle son engagement de continuer à faire route ensemble avec la culture sous toutes ses formes dans le pays, a-t-il dit. Nous mettons à la disposition de Livres en folie nos ressources financières, humaines et technologiques. Ce qui permet à Livres en folie d'être un événement national présent dans 14 villes du pays à travers les guichets de la Unibank, y compris sur l'île de La Gonâve. Dès le lundi 27 mai, Livres en folie sera disponible sur internet pour les lecteurs en Haïti et à travers le monde entier sur le site www.unibankhaiti.com et sur www.livresenfolie.com, a-t-il souligné.
Pour Emmelie Prophète, directrice générale du Bureau haïtien du droit d'auteur (BHDA), très impliquée cette année à Livres en folie, c'est une belle opportunité pour l'institution qu'elle dirige d'approcher à la fois les créateurs et le grand public pour faire connaître sa mission, son rôle et ses objectifs. Assurer la défense des intérêts matériels et moraux des auteurs, telle est la mission que confère le pays au BHDA et à laquelle madame Prophète reste fidèle. L'écrivaine, très connue, dit se battre pour octroyer un statut économique aux créateurs. Elle profite de Livres en folie pour mener toute une campagne de communication en faveur du respect des droits d'auteur. Aussi BHDA supporte-t-il l'activité dans le cadre de la Quinzaine du livre en organisant une vingtaine de conférences et de rencontres. La Bibliothèque nationale, le lieu par excellence où se trouve la plus grande variété de livres haïtiens et étrangers, ne saurait ne pas être partie prenante à Livres en folie.
Pour l'événement, Stéphane Malbranche, directeur général a.i de l'institution, va mettre à la disposition du public les fonds patrimoniaux de la littérature haïtienne d'expression française. Les filiales de la Bibliothèque nationale à travers le pays seront disponibles pour l'événement, a-t-il promis. Son collègue à la tête de la Direction nationale du livre a estimé qu'il fallait inciter les gens à lire. Frantz Carly Jean-Michel a indiqué qu'il n'y aurait pas Livres en folie si les écrivains ne produisaient pas et les oeuvres des écrivains n'auraient pas de valeur si on ne les lisait pas. Une façon pour lui de dire qu'il supporte l'initiative de Livres en folie.
Les innovations de la 19e édition D'abord, cette année, Livres folie est payante. C'est la principale innovation pour cette 19e édition, a souligné Frantz Duval. Les 150 gourdes réclamées aux participants, ce n'est pas pour faire payer les lecteurs, a-t-il rassuré, mais pour inciter les visiteurs à acheter les livres des auteurs haïtiens.
Les 150 gourdes donneront droit à l'entrée, ensuite 100 gourdes de rabais grâce à un coupon pour acheter n'importe quel livre à l'intérieur de la foire, puis 50 gourdes sur l'un des 129 ouvrages en signature, encore 50 gourdes pour acheter un livre jeunesse. Enfin, la Digicel vous offrira une carte de 50 gourdes , a-t-il expliqué. C'est une innovation pratique, a-t-il ajouté. Lire la suite...
Voir le programme de la Quinzaine du Livre du BDAH (Bureau du Droite d'Auteur Haïti)
Opératrice culturelle elle-même, Josette Darguste confesse que Livres en folie est définitivement la plus grande manifestation littéraire en Haïti réunissant depuis 19 ans des milliers de personnes en quête de palpitations nouvelles à l'occasion de la Fête-Dieu. « Cette motivation regroupe un nombre croissant d'écrivains qui profitent de l'événement pour lancer un livre ou offrir des titres déjà publiés. L'administration Martelly-Lamothe, soucieuse de sauvegarder l'héritage intellectuel du peuple haïtien et d'encourager toute initiative de création, de production littéraire, prend plaisir encore une fois à contribuer à la réalisation de cette manifestation d'envergure », a-t-elle déclaré.
Pour Frantz Duval, rédacteur en chef du journal Le Nouvelliste, l'un des organisateurs de l'événement, Josette Darguste est le quatrième ministre de la Culture qui supporte Livres en folie. Une façon pour le journaliste de carrière de souligner qu'à ce niveau, la continuité de l'Etat à se mettre au service des auteurs et écrivains est bien assurée. « Nous voulons aussi remercier l'engagement du président Martelly, le premier chef de l'Etat à participer deux fois de suite à Livres en folie, on doit le souligner, parce que cela ne se faisait pas avant », a-t-il dit. M. Duval a aussi remercié la contribution financière des ministères de la Culture et de la Planification.
Guy Supplice, représentant de la Unibank, l'un des partenaires de Livres en folie, a estimé que l'accueil du ministère de la Culture à cette manifestation culturelle était la preuve que cette entité est consciente de l'engagement qu'elle devait prendre auprès des initiateurs de l'événement. Pour lui, cette 19e édition est la continuité de l'abondance de lecteurs, d'écrivains et de participants. La Unibank renouvelle son engagement de continuer à faire route ensemble avec la culture sous toutes ses formes dans le pays, a-t-il dit. Nous mettons à la disposition de Livres en folie nos ressources financières, humaines et technologiques. Ce qui permet à Livres en folie d'être un événement national présent dans 14 villes du pays à travers les guichets de la Unibank, y compris sur l'île de La Gonâve. Dès le lundi 27 mai, Livres en folie sera disponible sur internet pour les lecteurs en Haïti et à travers le monde entier sur le site www.unibankhaiti.com et sur www.livresenfolie.com, a-t-il souligné.
Pour Emmelie Prophète, directrice générale du Bureau haïtien du droit d'auteur (BHDA), très impliquée cette année à Livres en folie, c'est une belle opportunité pour l'institution qu'elle dirige d'approcher à la fois les créateurs et le grand public pour faire connaître sa mission, son rôle et ses objectifs. Assurer la défense des intérêts matériels et moraux des auteurs, telle est la mission que confère le pays au BHDA et à laquelle madame Prophète reste fidèle. L'écrivaine, très connue, dit se battre pour octroyer un statut économique aux créateurs. Elle profite de Livres en folie pour mener toute une campagne de communication en faveur du respect des droits d'auteur. Aussi BHDA supporte-t-il l'activité dans le cadre de la Quinzaine du livre en organisant une vingtaine de conférences et de rencontres. La Bibliothèque nationale, le lieu par excellence où se trouve la plus grande variété de livres haïtiens et étrangers, ne saurait ne pas être partie prenante à Livres en folie.
Pour l'événement, Stéphane Malbranche, directeur général a.i de l'institution, va mettre à la disposition du public les fonds patrimoniaux de la littérature haïtienne d'expression française. Les filiales de la Bibliothèque nationale à travers le pays seront disponibles pour l'événement, a-t-il promis. Son collègue à la tête de la Direction nationale du livre a estimé qu'il fallait inciter les gens à lire. Frantz Carly Jean-Michel a indiqué qu'il n'y aurait pas Livres en folie si les écrivains ne produisaient pas et les oeuvres des écrivains n'auraient pas de valeur si on ne les lisait pas. Une façon pour lui de dire qu'il supporte l'initiative de Livres en folie.
Les innovations de la 19e édition D'abord, cette année, Livres folie est payante. C'est la principale innovation pour cette 19e édition, a souligné Frantz Duval. Les 150 gourdes réclamées aux participants, ce n'est pas pour faire payer les lecteurs, a-t-il rassuré, mais pour inciter les visiteurs à acheter les livres des auteurs haïtiens.
Les 150 gourdes donneront droit à l'entrée, ensuite 100 gourdes de rabais grâce à un coupon pour acheter n'importe quel livre à l'intérieur de la foire, puis 50 gourdes sur l'un des 129 ouvrages en signature, encore 50 gourdes pour acheter un livre jeunesse. Enfin, la Digicel vous offrira une carte de 50 gourdes , a-t-il expliqué. C'est une innovation pratique, a-t-il ajouté. Lire la suite...
Voir le programme de la Quinzaine du Livre du BDAH (Bureau du Droite d'Auteur Haïti)