Territoires nouveaux et voies nouvelles émergent du champ artistique haïtien. Quête du sens, curiosité nouvelle, orientent les artistes vers de nouveaux enjeux de création en phase avec la notion d’art contemporain.
Sébastien Jean (Thomassin, 1980) animé d’une grande énergie potentielle, retrace une cartographie du chaos à partir d’une fabrique de figures. Figures de la transe, de la métamorphose, saisies au plus fort de la crise. Ses moyens : un dessin aux traits saccadés, et une amalgame de couleurs profondes, noir de fumée, marc de café…
Guyodo (Port-au-Prince, 1973), habité par une grande force rituelle, avec comme principale ressource technique le matériau recyclé et la bombe minium et loin de tout misérabilisme, s’approprie le réel pour le transfigurer.
Ces deux jeunes artistes ont marqué d’une présence forte le Pavillon haïtien à la 54e Biennale de Venise en juin 2011.
Sébastien Jean (Thomassin, 1980) animé d’une grande énergie potentielle, retrace une cartographie du chaos à partir d’une fabrique de figures. Figures de la transe, de la métamorphose, saisies au plus fort de la crise. Ses moyens : un dessin aux traits saccadés, et une amalgame de couleurs profondes, noir de fumée, marc de café…
Guyodo (Port-au-Prince, 1973), habité par une grande force rituelle, avec comme principale ressource technique le matériau recyclé et la bombe minium et loin de tout misérabilisme, s’approprie le réel pour le transfigurer.
Ces deux jeunes artistes ont marqué d’une présence forte le Pavillon haïtien à la 54e Biennale de Venise en juin 2011.
